
La délicatesse du pollen
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Re: La délicatesse du pollen
Au cours d'une séance de test d'un matériel, j'avais pris comme sujet une fleur d'Althea (enfin, j'appelle ça un Althea - edit : c'est Hibiscus syriacus).
Je voulais (re)voir l'aspect des grains de pollen.
Deux possibilités : le passer sous le microscope - dégraissage/coloration/lame/lamelle - essayer de le prendre en "épiscopie", c'est à dire avec de forts grossissements, un bon éclairage, non traversant (un peu comme avec une loupe)
Le grain de pollen est assez gros, environ 120 micromètres de diamètre. Avec un grossissement de 20 x, on peut déjà voir pas mal de choses.
Je me suis concentré sur le stigmate de la fleur.
J'ai utilisé un objectif de microscope métallographique de 20x.
C'est un modèle avec une distance de travail très réduite et ça n'est pas super pratique

Par ailleurs, plus le grossissement est fort, plus la profondeur de champ est réduite... là, elle est très réduite

Dès lors, si on veut voir tout le grain, sa surface, ses ornementations, il faut procéder à un "stacking". On prend plusieurs clichés, ici, une soixantaine, en décalant la mise au point de quelques micromètres. Ensuite, un logiciel se charge de compiler les images et de mettre en continuité les zones de netteté.
L'image brute reste à travailler, plus ou moins... là, j'y ai passé quelques dizaines de minutes.
Pour la source de lumière, il y a un flash, déporté, diffusé par un cylindre de papier autour de la scène.
Je voulais (re)voir l'aspect des grains de pollen.
Deux possibilités : le passer sous le microscope - dégraissage/coloration/lame/lamelle - essayer de le prendre en "épiscopie", c'est à dire avec de forts grossissements, un bon éclairage, non traversant (un peu comme avec une loupe)
Le grain de pollen est assez gros, environ 120 micromètres de diamètre. Avec un grossissement de 20 x, on peut déjà voir pas mal de choses.
Je me suis concentré sur le stigmate de la fleur.
J'ai utilisé un objectif de microscope métallographique de 20x.
C'est un modèle avec une distance de travail très réduite et ça n'est pas super pratique

Par ailleurs, plus le grossissement est fort, plus la profondeur de champ est réduite... là, elle est très réduite

Dès lors, si on veut voir tout le grain, sa surface, ses ornementations, il faut procéder à un "stacking". On prend plusieurs clichés, ici, une soixantaine, en décalant la mise au point de quelques micromètres. Ensuite, un logiciel se charge de compiler les images et de mettre en continuité les zones de netteté.
L'image brute reste à travailler, plus ou moins... là, j'y ai passé quelques dizaines de minutes.
Pour la source de lumière, il y a un flash, déporté, diffusé par un cylindre de papier autour de la scène.
Fred SVT inside
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